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| we don't believe the words, we just love the way they sound. | |
| Auteur | Message |
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Wu Huang Yue
« don't talk to strangers; » ■ pseudo : yoona.■ récits : 68■ avatar : luhan - exom.■ here since : 27/02/2013 ■ âge : 32■ mood : frozen.■ song of the moment : now, trembling justice, embrace my unerasable scars and we’ll go together, nameless monster. ■ points : 239■ i'm so (un)popular : ■ i'm right here : avec yan dans les toilettes, mais je préfère me couper un bras plutôt qu'y rester plus longtemps & avec daniel le gamin attardé qui a cru pouvoir me dominer.■ spellbook :
liens. & présa.
I'm everything you know you wonder friend or foe ? I'm the burning in your throat when you swallow but then you spit me out your stomach full of doubt. And still you're faking every word out of your mouth but you won't let go it's all about control. Understand I'm born to lead you will follow. No, I don't wanna stay I'm running away don't you hear me when i say; « Goodbye. So long. Nice try. I'm gone. » You don't like being second I don't like being wrong. I won't forget the way you made me feel, I won't regret running away from here.
| Sujet: we don't believe the words, we just love the way they sound. Mer 27 Fév - 11:01 | |
| | featuring luhan from exo-m. il n'y a pas de coïncidences dans la vie ! ainsi donc je suis un sorcier de pur-sang, d'origine chinoise, né le 15/09/2023. j'aspire à faire partie des rangs de yunikon, et j'avoue que ça sera tout un déshonneur si je me retrouve parmi les yongwang... ouf, ça en fait de l'information ! assez parlé de moi, je vous présente sora, un joli poussin, il me suit partout. *ah oui, et j'allais oublier ! je suis l'enfant de ta mère. |
huang yue n'est pas quelqu'un qui impressionne beaucoup ou qui peut intimider. C'est le type qui a vingt ans et qu'on prend pour plus jeune que sa cadette qui en a dix-neuf. Avec sa bouille angélique, et son air enfantin, on se dit vla le gosse de huit ans, alors, t'as pris ton suppositoire aujourd'hui? mais non, non, et définitivement non. Même s'il est plutôt le genre de garçon calme et posé – il n'en reste pas moins faiblard pour autant. Il ne se laisse pas faire. C'est même tout l'inverse. Il a le sang chaud, il part au quart de tour – tout en sachant rester calme. Étrange, n'est-ce pas ? Quelqu'un qui, au lieu de faire de grands gestes avec ses bras et hausser la voix dès qu'il vous hurle dessus, se met simplement face à vous et vous fixe dans les yeux tout en articulant d'une voix linéaire des horreurs. Ça surprend, au début. Pour la première fois, ça fait peur, même. Par son comportement trop calme, presque froid – il en devient presque imposant, au final. Il sourit, oui, beaucoup en fait. C'est de cette manière qu'on se méprend sur son véritable lui. Pas qu'il soit du genre schizophrène – je fais genre que je suis une personne super fiable alors qu'au final je suis une langue de pute – mais disons qu'il a ce simple détail qui fausse immédiatement la première impression que l'on peut avoir de lui. Il sourit – il lui arrive même de rire mais alors faut vraiment être quelqu'un d'hilarant – pour autant, cela ne signifie pas qu'il est quelqu'un de jovial ou de chaleureux. En réalité, si sa chère et tendre petite sœur n'était pas de ce monde, alors il aurait mis fin à sa vie depuis un moment – ou il aurait fait en sorte de mettre fin à sa vie rapidement, en fait. Plus aucun goût à la vie ne l'anime. Il n'est plus qu'une enveloppe charnelle qui a décidé de faire de son corps un bouclier pour sa cadette. Il est devenu sarcastique, moqueur et méprisant - mais il n'était pas comme ça, avant. Curieux et observateur, il se fait rarement avoir quand on tente de l'amadouer – néanmoins il est assez simple d'anticiper ses répliques puisque ce sera, généralement, du silence. Ses actions sont, d'ailleurs, très simple. C'est un violent. On ne dirait pas, mais c'est un violent. Quand on l'emmerde trop, il frappe. Et même si il semble avoir la peau sur les os et une maigreur alarmante – on est souvent surpris de sa force et son acharnement. laquelle de ces affirmations trouves-tu la plus véridique ? je crois que pour avancer dans la vie, il faut savoir être le meilleur et ne jamais se décourager, toujours foncer et garder la tête haute. peu importe la façon d'avancer, tant que c'est bien fait. évidemment, il faut travailler - j'imagine - mais tant que la perfection est atteinte au bout du compte, tous les moyens sont les bons. le tout dans la vie, c'est d'être entouré des gens qui nous sont chers et ne pas hésiter à s'entraider. parce qu'une main tendue aujourd'hui... est un coup de pouce demain ! pour avancer dans la vie, peu importe les obstacles, il faut savoir leurs faire face avec calme et savoir-faire et toujours avoir les bons outils pour s’en sortir sans trop de dommage. pour avancer dans la vie ? foncer dans le tas. non ce n'est pas vrai. suffit d'avancer lentement, un pied devant l'autre et d'écarter le moindre obstacle qui se pointe sur notre chemin. et si ça ne marche pas ? tant pis, on verra demain. mais je trouve toujours le moyen d'arriver à mes fins. laquelle de ces expressions préfères-tu ? rien ne sert de se désartibuler, il faut prendre son temps pour transplaner ! il ne faut pas faire pousser toutes les mandragores dans la même serre. quitte à être pendu, mieux vaut que ce soit pour avoir volé un dragon plutôt qu'un mouton. joyeux comme un détraqueur. ne chatouillez pas le dragon qui dort. lequel de ces mots t'inspires-t-il le plus ? captiver. draguer. courtiser. charmer. conquérir. si je devais monter un groupe, je serais... piano électrique ! ou accordéon... ou... un truc dans le genre. la guitare. la basse. la batterie. le chanteur & leader. mon type de sortilèges favori est... élémentaires. psychiques & émotionnels. défensifs. pratiques. divers. pour moi, un rendez-vous de rêve c'est... tant qu'elle/il fout le camps après l'étape du lit et que j'en entends plus parler, ça sera parfait ! tout doit être parfait et évidemment il/elle doit me prouver qu'il/elle est à ma hauteur, payer le repas et me traiter comme un/e roi/reine. une sortie à l'aquarium, au zoo, ou quelque chose dans le genre. j'aime bien les musées, aussi. un rendez-vous à deux couples ! c'est toujours amusant, et puis ça permet de briser la glace. et puis de toute façon, il/elle doit être capable de bien s'entendre avec mes amis. un parc d'attraction ou quelque chose dans le genre ! dans ma tête, je le vois parfaitement. tomber amoureux dans une auto tamponneuse, c'est trop romantique. laquelle de ces séries de mots t'inspires le plus ? joli, sot, adroit, comique, absurde. beau, con, calé, marrant, farfelu. sexy, débile, malin, risible, insensé. ravissant, inepte, doué, divertissant, irrationnel. mignon, bête, fort, drôle, saugrenu. que fais-tu à minuit ? en quoi ça te concerne ? c'est quoi cette question ? PARTY ! je dors, au chaud dans mon lit, avec Caramel, mon chat de race, et mes chaussettes de nuit venues de Norvège. encore une qui s'est faite larguée, elle a besoin de moi pour la réconforter... je dors, j'ai un examen demain. tes notes de cours sont plutôt... il me manque quelques notes ici et là, parce que j'ai séché ou parce que je... dormais (bah quoi) mais sinon c'est plutôt bien ! comme on dit, je me retrouve dans mon bordel. je n'aime pas trop les écrire moi-même, généralement je demande à un camarade de me les faire en double pour ne pas abîmer mes jolis doigts, mais elles doivent être parfaites et claires. un peu pêle-mêles je dirais, mais de toute façon la veille de l'examen, nous faisons généralement une soirée d'étude tous ensembles et... ce qui n'est pas tout à fait clair est donc résolu le soir même. les pages sont numérotées et mon cahier est divisé par chapitres, tout est soigneusement classé et soigné pour me retrouver rapidement et efficacement. qui a besoin de notes quand on a des manuels à la bibliothèque, sérieux ? niveau popularité, tu es plutôt... populaire ? peut-être.. peut-être pas, en fait, je m'en fiche, tant que j'ai tous mes amis. avoir beaucoup d'amis c'est être populaire ? je les aime tous ! être populaire c'est pas ce qu'il y a de plus important, faut plutôt choisir ses connaissances selon ses besoins sociaux. j'aime bien être populaire auprès des nanas/des mecs mais sinon, j'en ai un peu rien à foutre. je suis souvent celui qui donne un sens à la fête, certains disent que je suis surprenant, innovateur... et parfois - ne les écoutez pas - certains disent que j'en fais trop. parlez en bien, parlez en mal... je reste votre sujet favoris ! déjanté ? fortement. populaire ? absolument. popularité ? c'est mon deuxième nom. tant que mes fans me lèchent pas trop les pieds, qui sait quels microbes ils peuvent ramener... tu fais face à un problème, tu... je réfléchis rapidement à toutes les solutions s'offrant à moi, et je choisis celle qui s'avère être la plus efficace et celle qui a le plus de chance de réussite. avec tout ce que j'ai retenu sur le plan théorique, la pratique ne devrait pas être trop difficile. j'agis.. et ensuite éventuellement lorsque je suis dans de beaux drap, j'espère très fortement que la personne avec moi a pensé à son propre plan. sinon, j'ose espérer m'échapper de façon spectaculaire ! j'analyse. si c'est un adversaire, je vise les points faibles. si c'est une situation où je doute pouvoir m'en sortir, je détourne ou déforme la réalité pour m'en sortir. pas question que je me foutes dans la merde. c'est les autres qui se salissent les pattes, moi, je ne m'en mêle pas. je réfléchis en premier lieu. si je ne peux régler la situation seul, je ne ferai pas le gamin ! the wand chooses the wizard; « ah ! te voilà, te voilà, je t'attendais. on m'avait prévenu que tu passerais. viens, viens ici, je crois que je sais exactement ce qu'il te faut... mais n'oublie pas, c'est la baguette qui choisit son sorcier, pas le contraire. » ta baguette est plutôt... très attachée à toi et refuse généralement d'effectuer des sorts de magie noir. très puissante et dangereuse, elle semble apprécier les sorts de magie noir et apprend très rapidement. effectue une grande variété de magie mais apprend très lentement et est difficile à contrôler. tu décrirais ta magie comme... contradictoire, conflictuelle. (elle ne m'obéit pas, elle est plus efficace envers le type de sorts qui ne me conviennent pas mais puissante.) performante en duels et en sorts défensifs. difficile à contrôler et/ou un peu/très dangereuse. loyale mais très peu flexible, à l'écoute de mes besoins. capricieuse, mais très fidèle. (elle me joue beaucoup de tours mais m'est très loyale) plutôt performante en métamorphose, loyale. je suis plutôt... fermé d'esprit avec un style de magie très sélectionné. fermé d'esprit avec un style de magie considéré comme normal. fermé d'esprit avec un style de magie très excentrique. plutôt ouvert d'esprit avec un style de magie très sélectionné. plutôt ouvert d'esprit avec un style de magie considéré comme normal. plutôt ouvert d'esprit avec un style de magie très excentrique. très ouvert d'esprit avec un style de magie très sélectionné. très ouvert d'esprit avec un style de magie considéré comme normal. très ouvert d'esprit avec un style de magie très excentrique. ♦ pseudo yoona. ♦ âge dix-neuf ans. damnit. ♦ temps de connexion souvent, souvent. tout du moins normalement. ♦ un commentaire ? no pas vraiment. enfin papple = yoona, hein. je précise au cas où. sinon, joli forum comme d'habitude. ça fait vraiment étrange de se retrouver de nouveau sur awa après deux ans d'absence. comme d'hab, mee a fait du beau boulot niveau graphisme. o/ et, et, je suis perturbée par les connectés en haut du forum, mais je suppose que je vais m'y habituer. o_ô coeurs sur vos fesses. ♦ exemple rpg; - Spoiler:
hé, connard, tu pourrais t'excuser. vrillant mes pupilles écarlates vers celui qui venait ainsi de m'adresser la parole, j'eus la jouissance de constater que l'élan de courage qu'il avait eu à m'agresser ainsi s'était évaporé bien plus rapidement qu'il était arrivé. Il écarquilla les yeux, secoua la tête et agita sa main dans les airs l'air de dire qu'il ne s'était rien passé. Je gardai cette même expression neutre sur mon visage, n'exprimant rien autre que la lassitude. La peur dirigeait les hommes – et la prétention aussi. Ce jeune garçon, là, il avait simplement voulu impressionner ses potes en pensant qu'il était judicieux de me hurler dessus alors que j'avais à peine tapé dans son épaule sans faire attention. Il devait avoir le sang chaud. Quelle ironie. Le petit groupe s'éloigna à grandes enjambées tandis que je continuai à déambuler dans les rues tel un fantôme. Depuis combien de jours est-ce que je marchais droit devant moi sans m'arrêter ? Beaucoup, en tout cas. Mes pieds commençaient à en avoir assez. Et pour qu'un corps ne ressentant que très peu la douleur, sentir cette désagréable sensation devait indiquer que cela devait faire un bon petit moment. Tellement, que j'en avais perdu la notion du temps. Notez, pour un vampire il vaut mieux perdre la notion que de compter les jours car j'allais pouvoir expérimenter tous ces chiffres infinis. Honnêtement, j'avais autre chose à foutre que m'amuser à compter les jours de mon existence. Cela ne devait pas faire un mois que j'avais quitté l'appartement, où la soif m'aurait guetté. Cela ne devait pas faire non plus que quelques heures, ou un ou deux jours. Alors combien ? Une semaine ? Deux ? J'apprenais à ne me dé-sensibiliser à Blaine. Et cela avait l'air de plutôt bien marcher. Loin des yeux, loin du c... je baissai machinalement les yeux vers ma poitrine. Loin du cœur ? Un sourire narquois prit le contrôle de mes lèvres. Comme si j'en avais un. J'étais égoïste. Égoïste et égocentriste. Parce que je savais que lui, il en avait un. Probablement que ma disparition devait l’inquiéter. Enfin, je n'en savais rien. Et même si je ne lui voulais absolument aucun mal ou aucune souffrance – dans le fond, j'espérais que je lui manquais. Au moins un petit peu. La vision de cet homme qui m'attendait à la maison était quelque chose qui me réchauffait l'esprit. D'un autre côté, je n'avais pas envie qu'il m'attende, qu'il fasse attention à moi – parce que je ne le méritais tellement pas. Quel ami était du genre à disparaître sans donner de nouvelles ? Sans prévenir ? Un connard, assurément. Si l'on prenait la peine de fouiller mon portable et que l'on ouvrait la conversation avec Blaine, on pouvait voir des débuts de phrases insensées – des brouillons. ne m'attends pas, je ne rentre pas, non, trop froid ; j'serais pas là c'soir, ni demain, j'sais pas quand j'reviens, m'attends pas, non, trop étrange ; je rentre pas, non, trop effrayant ; je t'a.... Non. Quand on ne disait rien d'intelligent, il fallait se dire. C'était ce que ma chère nourrisse m'avait inculquée. La parole était d'or, le silence était d'argent. Je préférais tellement ne rien dire plutôt qu'un flot de mots insensés. Je préférais le paniquer à ne rien dire plutôt que ces phrases incompréhensibles auxquelles je devrais me justifier – pour rien. Étais-je stupide ? Oui. Je l'étais. Avais-je envie de changer ? Oui, pour lui. Le pouvais-je ? Non. Mon impulsivité m'empêchait tout contact avec lui. Je devenais automatiquement de mauvaise humeur, je devenais exécrable. Il allait finir par me détester. Au fond, c'était peut-être mieux pour lui.
Je fus tiré de mes sombres pensées par le joli visage d'une inconnue qui me souriait. Mes pas m'avaient guidés dans une boite de nuit. Dans quel quartier étais-je ? Pas la moindre idée. Quelle heure il était ? Il me suffisait de lever le regard vers le ciel pour me rendre compte que selon la position de la lune, il était minuit passé. Plusieurs personnes faisaient la queue afin de rentrer et l'entente des basses qui tapaient au rythme de la musique dès lors que la porte s'ouvrait et laissait passer des humains me donna subitement envie d'y entrer, moi aussi. Je souris en retour à cette fille qui me fixait ainsi, puis me mis dans la file à ses côtés. Je l'entendis glousser avec ses amies devant et je ne pus m'empêcher de penser que je leur avais probablement tapé dans l’œil. Une fois n'est pas coutume, l'une d'elles se retourna vers moi et me posa la question que l'on me posait si souvent dès que je marchais dans la rue. Il suffisait d'entrer dans un bureau de tabac ou dans quelconque librairie au moins une fois dans sa vie, et j'y avais droit excuse-moi, tu es baek nolan? Je hochai la tête et elles se mirent à trépigner en poussant des petits cris aigus. La conversation s'était arrêtée là. Parce que les autres de la file avaient commencé à se tourner vers nous, et parce que le vigile avait tourné son regard vers nous. Vers moi, pour être précis. Un léger sourire et il me fit signe de passer devant. Ils se poussèrent et je me hissai jusqu'au vigile qui m'annonça qu'il me laissait entrer – que c'était un remerciement du patron pour emmener du monde dans leur établissement. Ah ? Ils devaient probablement faire erreur … Allais-je m'en plaindre ? Non. Un discret sourire de ma part et j'entrai dans le bâtiment. L'obscurité des lieux ne me dérangeait pas le moins du monde, et alors que je voyais à quel point les jeunes filles perdaient leurs maquillages à force de trop danser, mes narines furent subitement agressées par cette nauséabonde odeur de transpiration. Pouah. Comment dieu faisaient-ils pour réussir à rester enfermés, collés les uns aux autres sans avoir envie de vomir dû à l'odeur trop forte de l'alcool et de la transpiration ? Des résidus de déodorant et de parfum traînaient dans les airs – mais c'était peine perdue. Ça puait grave. C'était insupportable. Je me dirigeai machinalement vers le bar et me penchai à l'oreille de la serveuse pour lui quémander un verre d'eau. Elle arqua un sourcil au dessus de son visage et lorsque je lui offris un magnifique sourire comme je savais les faire, elle céda rapidement en me disant que je restais tout de même sexy en demandant de l'eau. Ouais, okay. Sers moi et ne pose pas de questions, tu veux ? J'engloutis le verre d'une traite, tournant mes yeux vers la piste de danse bondée. Je sentis quelque chose s'accrocher à mon bras, et alors que je tournai les yeux vers la personne qui jouait les sangsues, une seconde vint s'accrocher à l'autre. Elles se fixèrent l'espace de quelques secondes et il ne m'en fallu pas plus pour me rendre compte à quel point elles étaient ivres. Souhaitant éviter un massacre ( même si l'idée de deux filles qui se battent était relativement sexy ), je les embarquai avec moi sur la piste – toutes les deux. Parce qu'en plus d'être deux sangsues, je pense qu'elles étaient aussi en manque. Et il ne serait pas bien compliqué pour moi de repartir avec l'une d'elles – voire les deux. Mais non. Je n'étais pas encore rendu au stade de connard à ce point. Les suivant dans leur danse sensuelles, je fus bien obligé au bout d'un moment de poser ma main sur la hanche de l'une d'elles, provoquant la jalousie de l'autre qui se mit immédiatement à frotter son corps davantage contre moi. D'un point de vue objectif, la vision de nous trois devait être assez … spéciale. Elle le fut encore plus dès lors que d'autres personnes se rajoutèrent – et surtout un homme. Il devait probablement être le petit-ami de l'une d'elles car le regard qui me lança signifiait bien ce qu'il signifiait. Je levai les mains dans les airs. Irrité. Non, je ne m'amusais pas tant que cela, au final. Comment diable les gens pouvaient-il aimer cela, au final ? Peut-être était-ce grâce à l'alcool. Et moi, je ne pouvais pas en ingurgiter. Fallait-il obligatoirement de l'alcool pour s'amuser ? Je soupirai. J'étais lassé. Je me penchai à l'oreille du type en question et m'excusai rapidement pour avoir posé ma main sur sa copine – et lui conseillai au passage de veiller sur elle de plus près – avant de quitter le club.
Après une bonne demi-heure d'hésitation, j'avais enfoncé les clefs de l'appartement dans la serrure, et j'étais entré. La chaleur de mon chez-moi m'avait peut-être un peu manqué – mais le colocataire encore plus. Il devait être à peine une heure du matin. Je n'étais pas vraiment resté longtemps en boite et je n'avais pas traîné avant de rentrer. Pourquoi rentrer ce soir ? Je sais pas. Voir un couple. Voir tous ces gens me faisait me rappeler à quel point j'étais seul. À quel point je ne pouvais pas vraiment renier mon foyer. Ma très chère nourrisse me l'avait dit, aussi. Tu sauras que tu as trouvé ton foyer et ton vrai chez toi, quand tu auras quelqu'un pour t'attendre le soir. J'étais horrible, hein ? J'avais un foyer. J'avais quelqu'un qui m'attendait. Et je le laissais seul. Constamment. Je fis attention à ne pas claquer la porte, puis déposai les clefs sur la table après m'être déchaussé. Ses chaussures étaient là. Vu l'heure qu'il était, il devait probablement dormir. Je n'allais pas le réveiller. Je repartirai avant qu'il ne se lève d'ici quelques heures. J'avais simplement éprouvé le besoin de revenir ici, de le voir. Ou l'apercevoir, du moins. Allais-je m’asseoir dans sa chambre et le regarder dormir ? L'idée était tentante – bien qu'effrayante. Dans l'immédiat, j'avais davantage envie de manger quelque chose plutôt que l'observer pendant de longues heures à froncer les sourcils dans son sommeil. À pas de loup – quelle ironie – j'entrai dans la cuisine et ouvris le frigo. Presque vide. Pendant qu'il sera absent, demain, j'irai chercher de quoi remplir son estomac pour les deux semaines à venir. Il me détestera de l'avoir fait et de ne pas être resté – peut-être même qu'il trouvera judicieux de faire la grève de la faim comme un gosse, mais son envie de me tuer sera tellement grande qu'il ne se laisserait pas mourir. Un sourire en coin vint éclairer mon visage. J'étais détestable. Purement et simplement détestable – mais je ne pouvais pas m'empêcher de veiller sur lui. Avais-je un soucis mental ? Ouais. Pas l'ombre d'un doute. Effectuant un demi-tour dans le but d'aller vérifier qu'il était bien dans son lit et que les couvertures n'étaient pas tombées de son corps ( il faisait froid pour les humains, alors je ne tenais pas à ce qu'il tombe malade. Chose qu'il était bien capable de faire, juste histoire que je reviennes m'occuper de lui, tssss. ) je ne fis pas attention et cognai mon pied dans la table du salon. Ah. Sans même que je n'ai le temps de me rendre compte de ce qu'il m'arrivait, je vis Blaine se dresser sur le canapé avec des yeux encore plus gros que les miens. Je m'arrêtai de bouger. Oh. Putain. De. Merde. Il se leva furibond et marcha en ma direction avec cette aura qui ne me disait rien qui valait. À peine eu-je le temps de sortir la plaquette de chocolat de ma bouche qu'il était devant moi. Essoufflé. Les joues rouges. Quelque chose clochait. Je plissai les yeux. Une, deux, trois, quatre secondes de silence et. Un coup de poing ? En était-ce seulement un ? Ok, Blaine n'était pas bodybuildé et n'avait pas une fantastique force, mais tout de même. Il en avait plus que ça, à la base, non ? Je fronçai les sourcils. Le silence était d'argent, mais alors celui-là était drôlement pesant. Et ce que je redoutais arriva. Blaine en colère ? Bon, c'était relativement rare, quand il l'était c'était toujours pour une excellente raison et – ouais, je la méritais gravement, cette engueulade. Même si mon visage resta figé par la froideur, je me surpris à ressentir un peu de joie dès qu'il annonça s'être inquiété. Pas le temps de se réjouir que je me retrouvai plaqué contre le mur face à un asiatique en colère. Dans un autre contexte, cela aurait pu être tellement sexy et tellement me plaire mais, hah, dans l'immédiat cela ne réussit qu'à faire naître une certaine réaction nerveuse en moi. Cette réaction nerveuse ? L'agressivité. J'étais devenu agressif avec lui, en quelques sortes. C'était toujours plus fort que moi. Et je m'en voulais toujours. Mais je ne réussissais jamais à m'en empêcher. Je déversai sur lui, la colère que je ressentais à mon propre propos. Si c'était pas stupide, ça. J'haussai les épaules dès qu'il me demanda si c'était lui que je fuyais. peut-être bien étais-je sur le point de répondre dès qu'il continua sa phrase … pour sortir la plus belle connerie qu'il n'ai jamais dite. Non, sérieux, il croyait vraiment à ce qu'il venait de dire ? Un râle rauque s'échappa de ma gorge et je le repoussai par l'épaule en souriant narquoisement, provocateur. « Qu'est-ce que tu me fais, là. Je suis pas mort, okay ? Lâche moi un peu. » ah, nolan, t'es qu'un connard. « Pas b'soin d't'inquièter pour moi, j'suis grand, j'me démerde tout seul. » bon, d'accord, j'étais trop heureux qu'il se préoccupe de moi pour faire un paragraphe plus long que cela pour lui dire de ne plus s’inquiéter, réellement. Je coupai des carrés de chocolat entre mes doigts et lui enfournai dans la bouche sans lui poser de questions. « Déstresse, là. Tu t'prends trop la tête. R'garde moi ça, tu pionces sur le canapé tellement t'es crevé, là. T'as pas un lit ? T'as pas des couvertures et un matelas bien mieux que ça, là ? Hein ? Hein ? Occupe-toi d'tes affaires. T'es pâle comme un linge et t'as les joues rougies, là. T'as même pas de force et … » Je plissai les yeux, me rendant compte des symptômes que je décrivai. « hé, si t'es malade, j'te tue, Blaine. » l'attrapant par le pan de son tee-shirt, je l'approchai violemment de moi et posai mes lèvres sur son front. Je fermai les yeux quelques secondes et le verdict fut fatal. Je les rouvris et collai mon front contre le sien, serrant toujours le tissu entre mes doigts, je fronçai les sourcils et parlai d'une voix dure. « Putain mais t'as traîné où encore, là ? T'as d'la fièvre, t'es malade, et t'oses encore me faire la morale ? Quel culot. »
Dernière édition par Wu Huang Yue le Mer 27 Fév - 11:43, édité 6 fois |
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Delacroix Chanel
« don't talk to strangers; » ■ pseudo : mie■ récits : 105■ avatar : park hye min■ here since : 05/01/2013 ■ âge : 29■ points : 206■ i'm so (un)popular :
| Sujet: Re: we don't believe the words, we just love the way they sound. Mer 27 Fév - 11:06 | |
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Lee Wayne the dangerous admin « don't talk to strangers; »
| Sujet: Re: we don't believe the words, we just love the way they sound. Mer 27 Fév - 11:09 | |
| (scène réelle : "papple... ça me dit quelque chose." "elle avait réservé un avatar..." "mmh..."
30 minutes plus tard; "C'EST YOONA. C'EST YOONA. YOONA YOONA YOONA YOONA.")
petitlapsushs. HAI. ♥ je je je. ;O; tu es en vie. jesuiscomblée. bienvenue. ou rebienvenue. re-re-rebienvenue en fait. peuimporte. |
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Kwang Jun Hee the fiery modo « don't talk to strangers; » ■ pseudo : yune.■ récits : 143■ avatar : jang dong woo. (infinite)■ here since : 13/01/2013 ■ âge : 33■ mood : good.■ song of the moment : yesterday is only today’s memory and tomorrow is today’s dream. ■ points : 253■ i'm so (un)popular : ■ i'm right here : clique ici pour me connaître
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can't you hold me ? i just need y o u now.
| Sujet: Re: we don't believe the words, we just love the way they sound. Mer 27 Fév - 11:31 | |
| Welcome back. ♥ Courage pour ta fiche kkk. ♥ |
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Wu Huang Yue
« don't talk to strangers; » ■ pseudo : yoona.■ récits : 68■ avatar : luhan - exom.■ here since : 27/02/2013 ■ âge : 32■ mood : frozen.■ song of the moment : now, trembling justice, embrace my unerasable scars and we’ll go together, nameless monster. ■ points : 239■ i'm so (un)popular : ■ i'm right here : avec yan dans les toilettes, mais je préfère me couper un bras plutôt qu'y rester plus longtemps & avec daniel le gamin attardé qui a cru pouvoir me dominer.■ spellbook :
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| Sujet: Re: we don't believe the words, we just love the way they sound. Mer 27 Fév - 11:45 | |
| WAAAAI. ♥
bien sûr que je suis en vie. t'as cru que t'allais te séparer de moi si facilement, c'est ça ? hmpf. jamais, jamais. je suis une maladie incurable, vois-tu. tu me verras jusqu'à ta mort.
merci tout le monde. o/
&PIS. J'ai fini ma fiche. ♥ normalement. voilà. ♥ |
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Xian Nine the paranoid admin « don't talk to strangers; »
| Sujet: Re: we don't believe the words, we just love the way they sound. Mer 27 Fév - 11:54 | |
| BIENVENUE (ahahtucroyaisquec'étaitpourtevaliderheinbennan)
je te dirai pas bonne chance pour ta fiche vu que t'es trop rapide, j'ai pas eut le temps ! j'suis contente à un point que tu peux pas imaginer que tu sois de retour sur akiwa ;w; (je sais, on se connait pas des masses, mais je connais mee, et je crois que c'est suffisant pour dire que j'en sais assez sur toi -3- ♥)
bonne validation ! |
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Wu Huang Yue
« don't talk to strangers; » ■ pseudo : yoona.■ récits : 68■ avatar : luhan - exom.■ here since : 27/02/2013 ■ âge : 32■ mood : frozen.■ song of the moment : now, trembling justice, embrace my unerasable scars and we’ll go together, nameless monster. ■ points : 239■ i'm so (un)popular : ■ i'm right here : avec yan dans les toilettes, mais je préfère me couper un bras plutôt qu'y rester plus longtemps & avec daniel le gamin attardé qui a cru pouvoir me dominer.■ spellbook :
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I'm everything you know you wonder friend or foe ? I'm the burning in your throat when you swallow but then you spit me out your stomach full of doubt. And still you're faking every word out of your mouth but you won't let go it's all about control. Understand I'm born to lead you will follow. No, I don't wanna stay I'm running away don't you hear me when i say; « Goodbye. So long. Nice try. I'm gone. » You don't like being second I don't like being wrong. I won't forget the way you made me feel, I won't regret running away from here.
| Sujet: Re: we don't believe the words, we just love the way they sound. Mer 27 Fév - 11:56 | |
| damn it, j'y ai cru. è.é
merci, merci. ♥ reste à espérer qu'elle ai dis de bonnes choses sur moi. ;-; mais t'inquiètes pas, c'est sentiment partagé parce qu'à l'époque elle me parlait aussi de toi, donc voilà, voilà. huhu. ♥ |
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Jimmy l'Octopus
« don't talk to strangers; » ■ récits : 40■ here since : 11/01/2013 ■ points : 112■ i'm so (un)popular :
| Sujet: Re: we don't believe the words, we just love the way they sound. Mer 27 Fév - 12:14 | |
| mmmh, je vois... tu seras à... YUNIKONtu es maintenant dans la famille des turquoises, sois-en fier(ère)! ton honneur et ton assiduité guideront tes pas jusqu'à la perfection, montre-toi digne de ta maison qui est reconnu pour sa pureté et sa grandeur ! ta baguette mesure 22 cm, est moyennement flexible, possède un coeur de ventricule de dragon et est en bois d' aubépine. contradictoire, ta baguette t'offre par contre une grande puissance. il est possible que tu aies un don en guérison, mais aussi une grande faculté à lancer des maléfices. attention, c'est une baguette difficile à manipuler que tu as là, et si tu ne la contrôles pas correctement, il est possible que tes sorts aient l'effet inverse de leur but d'origine. c'est une baguette complexe, mais probablement aussi complexe que toi.. demande ta chambre ; demande ton patronus ; fais ta fiche de liens |
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| Sujet: Re: we don't believe the words, we just love the way they sound. | |
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| | | | we don't believe the words, we just love the way they sound. | |
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